hopenheart, Une marque de joaillerie pour la paix…

Rencontre avec la créatrice Céline Maarek, artisan de paix entre les religions. C’est son œuvre d’art spirituelle Hopen Art qu’elle installe à l’international qui la mènera à la création de sa marque de bijoux pour la Paix hopenheart, inspirée du logo emblématique et puissant. Faire porter la paix et véhiculer ce message d’amour et d’union est sa mission.

C’est en 2009 que Céline Maarek, directrice artistique depuis 25 ans, bourrée d’énergie positive crée HOPEN ART une œuvre d’art contemporaine multimédia où vos cinq sens sont sollicités pour entrer en fraternité avec Soi et les autres. C’est bercé par une musique électro acoustique, une bouche hypnotique en visuel, un cocon sensoriel qui vous isole du monde extérieur, que vous retrouvez votre paix intérieure. Un voyage
de l’âme entre prières ancestrales et chansons modernes. Grâce à cette œuvre d’art spirituelle, elle fait une rencontre déterminante avec le créateur du très célèbre logo. S’ensuit une collaboration exclusive à quatre mains afin de véhiculer ce message fort, avec pour union l’art de la joaillerie. Entretien avec une sage contemporaine qui nous ouvre le cœur

Vous sentez vous missionnée pour la Paix ?
Céline Maarek : Depuis toujours. Dès l’âge de 7 ans, je regardais les informations à la télévision avec mon papa et déjà je ressentais une injustice dès que l’on évoquait la guerre israélo-palestinienne. Une peine inexplicable m’envahissait et je m’étais alors promise, en tant que juive, d’essayer de réunir ces frères ennemis dans une harmonie où les religions s’assemblent sans s’opposer. Je ne savais évidemment pas que l’art permettrait cela mais, dès lors, mon programme intérieur était lancé… Les choses se sont mises en place naturellement et c’est par un parcours d’esthète, de directrice artistique en presse magazine et de précurseur dans le yoga, que j’ai pu rencontrer les merveilleuses personnes qui ont fait naître l’œuvre d’art HOPEN ART en 2009 : musiciens, danseurs et cinéastes. Cette œuvre a pour mission de redonner sa dimension
réelle au mot religion dont l’étymologie religare signifie se relier… Ainsi dans l’HOPEN ART les religions n’existent pas; Elles collaborent ensemble, dans une coexistence fraternelle, à toucher cette source commune : sa lumière intérieure, que les hindouistes appellent le Soi.

« Aimez-vous les uns les autres. »

Quels sont les projets de la marque ?
Pour moi, la nouvelle génération peut tout changer ! En portant ces symboles, les mentalités peuvent évoluer et permettre une tolérance laïque. La notion de fraternité touche les jeunes, j’ai donc fais le choix de deux collections : une à petit prix, pour eux, mixte, avec des bijoux en cuivre recouvert d’un flash argent du or et une nouvelle collection plus mature, élégante et féminine, avec le motif porté à l’horizontal pour une meilleure lecture du logo, à la déclinaison argent, plaqué or, vermeil, et réalisable en Or, Or blanc avec les sigles sertis de zirconiums ou diamants. Sort aussi une gamme OM plus masculine avec un côté zen et yogi grâce au sigle unique que l’on peut porter sur le chakra du 77 cœur. Le modèle Hari Om Tat Sat qui remercie l’univers pour ses grâces voit aussi le jour. Et enfin, une collection moderne appelée Mixte qui mêle bracelets, bagues et boucles d’oreilles de toutes obédiences, que l’on pourra associer comme on veut en fonction de sa propre mixité religieuse. Ainsi un bracelet bouddhiste pourra se porter avec une bague chrétienne, ou bien une boucle d’oreille juive avec une autre musulmane, et pourquoi pas s’offrir les 4 bracelets aux 4 sigles sur le même poignet. On parle souvent de métissage quand il s’agit de couleurs, mais la nouvelle génération est très mixte religieusement. Et c’est ce qui fait son ouverture d’esprit et les nouvelles mentalités. Véhiculer un message d’amour christique et nous unir les uns aux autres, est enfin possible grâce à ces bijoux universels. Afficher librement son identité, son athéisme ou sa foi.

Retrouvez la suite de cet article de Julie Maarek sur hopenheart dans Liberty’s Magazine #3.