Au cœur de Paris, à deux pas des Tuileries et de la luxueuse Rue Saint-Honoré, cet hôtel 5 étoiles vous accueillera dans une atmosphère cosy et conviviale.
La décoratrice Sarah Poniatowski-Lavoine a apporté sa touche féminine et contemporaine et mis tout son cœur à ce projet d’hôtel en veillant à chaque détail pour en faire un lieu élégant et accueillant. Les motifs dont la fameuse couleur bleu Sarah et toutes les attentions présentes que l’on a envie de retrouver chez soi après une longue journée. Les chambres et suites, très lumineuses, ont été pensées comme de petits appartements parisiens : moulures aux couleurs tantôt chaleureuses et vitaminées, tantôt sobres et élégantes, sauront vous accueillir pour un voyage au cœur du chic parisien.
Le petit secret en plus du Roch Hotel ? sa piscine ; où en nageant sous une cascade d’eau on accède au hammam en mosaïques noires et au sol recouvert en pierre de lave du jamais vu sur Paris. Un Spa où vous pourrait découvrir les soins Codage qui vous proposerons des soins sur mesure adapter à votre peau.
Sarah Poniatowski-Lavoine architecte d’intérieur est devenu la référence pour le chic parisien. Elle n’a pas son pareil pour marié le couleur et accessoiriser votre intérieur pour lui donner ce style typiquement french touch mais très cosy. Au sein de son quartier de prédilection, elle y possède une de ces deux boutiques ; le Roch hôtel et Sarah étaient fait pour se rencontrer. Dés l’entrée nous pénétrons dans son univers, tout est calme, serein, une parenthèse enchanté, des beaux canapés vous invite à vous prélasser au milieu d’une belle cheminée et de sa bibliothèque comme pour vous dire bienvenue à la maison . Cette virtuose de la décoration a mis un point d’honneur à traduire sa vision du confort et du chic parisien. Une adresse à ne pas manquer toute en douceur et sérénité.
Roch Hotel LE ROCH HOTEL & SPA 28 rue Saint Roch 75001 PARIS +33 1 70 83 00 00 www.leroch-hotel.com |
Retrouvez toutes les informations nécessaires sur le Roch hotel dans un article de Sandra Fourqui dans Liberty’s Magazine #3.